Le 6 août 2020, bravant la chaleur, un groupe de valeureux rotariens, s'est retrouvé au Parc des Bourrins pour tutoyer/biberonner, si possible, le cochonnet, puis dîner quelques 100 mètres plus loin au restaurant des Berges de l'Allier.

Ils arrivèrent à une douzaine (4 équipes de trois joueurs), puis, par un prompt renfort, se retrouvèrent 29 en arrivant au port (du club de l'aviron).  

 

Il y avait du Pagnol dans la partie de pétanque. Certains étaient très concentrés et très fermes sur les règles, pas les mêmes pour tous d'ailleurs, d'où des discussions animées dignes de César, de Panisse, d'Escartefigue et de monsieur Brun. D'autres, plus relax, se contentaient de figurer le plus honorablement possible, bientôt rejoints par un public de plus en plus fourni. Votre Président faisait partie du deuxième groupe et découvrait tristement tout le sens du mot bourrin à travers la qualité de son jeu.

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Malgré l'ombre fournie par les palétutu/les palétuviers, la chaleur poussait les glorieux acteurs à anticiper l’apéritif. Notre éminent Protocole décidait, uniquement bien sûr pour préserver la santé et la fraîcheur de nos membres, de passer à table où l’apéritif était servi. C’était l’occasion pour certains de retrouver notre hôtesse, Grace, que nous avions connue et appréciée au restaurant du Sporting de Vichy, côté tennis/piscine. Toujours souriante, aidée d’une équipe jeune et dynamique dont Lily Rose l’une de ses filles, elle avait pris soin de prévoir des solutions de rechange pour celles et ceux qui ne digéraient pas la petite friture. Pour ces derniers, il n’y avait pas de friture sur la ligne ! Un comble au bord de notre Allier autrefois si poissonneuse. Il n’y avait même pas de pè(ê)che au dessert.

En l’absence de notre Secrétaire et de son adjointe, le Président ne pouvait pas laisser passer notre premier dîner statutaire d’après confinement sans vous écrire ces quelques lignes (toujours ce thème récurrent !).

Cette soirée nous a permis d’accueillir nos amis parisiens Anne et Didier Mellini des clubs de Paris et de Paris Lafayette.

 

Une brise légère et une fraîcheur venue de la rivière avaient rendu rapidement la température très agréable pour le plus grand plaisir de toutes et tous. Un repas simple mais de bon aloi, une ambiance souriante et très amicale (je déteste le mot convivial trop galvaudé !), un cadre très guinguette où l’on aurait pu facilement imaginer un peintre réalisant un dîner sur l’herbe au soleil couchant, tous les ingrédients étaient là pour réussir ces retrouvailles après quelques épreuves bien pénibles.

Notre Protocole et moi-même n’avons eu que des compliments, que ce soit par mail ou en direct (pas en live !). Avouez qu’il fallait bien le célébrer ce premier dîner statutaire de la nouvelle mandature.

 

D.L.P.